L’employeur ou la CPAM peuvent être à l’origine du contrôle et ce d’autant que lorsque le salarié perçoit des indemnités journalières pendant la durée de son arrêt de travail, il est rémunéré à la fois par son employeur et par sa caisse d’assurance maladie. Dès lors que des soupçons pèsent sur un salarié laissant craindre un travail dissimulé ou une concurrence déloyale, une enquête discrète, voire une simple enquête de voisinage, ou une immersion totale dans l’entreprise, peuvent mettre à jour de tels agissements.